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Batman & Flash : Le prix (épilogue et « suite » d’Heroes in Crisis)

Court récit en quatre chapitres (les #64-65 des séries Batman et The Flash – toutes sous l’ère Rebirth), Le prix a été publié en France dans le magazine Batman Bimestriel #5 (mars 2020) puis dans le huitième tome de Flash (Rebirth) au titre éponyme (juin 2020).

Néanmoins, cette histoire est plutôt une sorte d’épilogue d’Heroes in Crisis, s’inscrivant dans des segments bien précis du run de Tom King sur Batman et celui de Joshua Williamson sur The Flash. Aux États-Unis, Le prix (The price en VO – correspond au prix de la justice et au prix à payer suite aux évènements survenus dans Heroes in Crisis) a même bénéficié d’une publication en librairie dans Heroes in Crisis – The Price and other stories (avec un chapitre annual de Flash – inclus dans le tome huit de Flash Rebirth – et trois épisodes de Green Arrow – inédits en France). Critique puis récapitulatif de l’ensemble des séries DC Comics impactées.

[Résumé de l’éditeur]
Une vieille affaire de la Ligue de Justice vient tout juste de refaire surface. Pour résoudre cette enquête qui risque fort de laisser des traces, les deux plus grands détectives de l’Univers DC ne seront pas de trop. Ensemble, Batman et Flash vont devoir affronter un démon du passé… et enterrer les leurs au passage. Mais une question demeure : qui tire les ficelles ?

[Début de l’histoire]
Le musée Flash est attaqué à Central City. Le Chevalier Noir et le Bolide Écarlate aident les citoyens présents.

En enquêtant sur le responsable de cet attentat, les pistes mènent vers… Gotham Girl !

Batman et Flash coopèrent malgré les rivalités entre eux et découvrent un laboratoire secret dans lequel l’ancienne justicière tente de ramener son frère à la vie grâce au Venin de Bane et à la technologie de Freeze.

Barry Allen tombe aussi sur un masque provenant du Sanctuaire (cf. Heroes in Crisis) remettant en question l’intégrité de Batman dans cette affaire et une précédente…

[Critique]
En complément du titre Le prix, il convient de revenir sur Trop de bolides ! (The Flash annual #2 – 2019) qui ouvre le huitième tome de Flash (Rebirth). Dans ce segment on découvre la réaction de Barry Allen quand il apprend que Wally West est mort (cf. le début d’Heroes in Crisis). Fou de rage, il court et s’émancipe au cœur de la Force Véloce dans laquelle se cachait son ennemi Godspeed (un ex policier ami de Barry, August Heart). En parallèle, Kid Flash (anciennement Impulse) fait son retour ; il s’agit de Bart Allen le… petit-fils de Barry et Iris, venu du futur et élevé en réalité virtuel. Iris West (compagne de Barry et tante de Wally) n’est justement pas au courant de la mort de son neveu et Barry tarde à lui annoncer. Enfin, il semblerait qu’un mystérieux ennemi tire les ficelles en utilisant Godspeed (à priori Captain Cold – si un lecteur des Flash Rebirth veut confirmer en commentaire, merci d’avance ! – mais cela a peu à voir avec l’objet de cette critique).

Un résumé peut-être complexe (surtout si l’on n’est pas familier des aventures des bolides écarlates) mais qui montre bien les réactions de Barry et Iris en marge du début d’Heroes in Crisis. La « suite » est à découvrir dans Le prix (qui se déroule après ladite « crise ») et reprend justement les tensions entre Barry et Iris lors de l’enquête commune entre Flash et Batman sur Gotham Girl. Il s’agit, une fois de plus, d’une introspection chez les super-héros, tirant cette courte histoire vers le haut. Joshua Williamson (l’habituel auteur de Flash période Rebirth) signe le scénario, continuant ce qu’avait insufflait Tom King (dans Batman Rebirth ET dans Heroes in Crisis).

Côté dessin, on retrouve Guillem March (Joker Infinite, Catwoman) pour les chapitres Batman #64-65 et Rada Sandoval pour The Flash #64-65, tous deux accompagnés de Tomeu Morey à la colorisation. Graphiquement, le titre sonne comme un bon « comic book » mainstream, oscillant entre de belles séquences d’action lisible et des palettes rouges et jaunes (Flash), bleues et vertes (Gotham Girl) et bien sûr sombres (Batman). De quoi suffire pour assurer un spectacle cohérent malgré les deux dessinateurs différents.

Le prix est plutôt palpitant mais s’inscrit à la fois en tant qu’épilogue d’Heroes in Crisis (aucun intérêt de le lire si on ne connaît pas ce dernier) et poursuite du run de Williamson sur Flash (notamment après le chapitre annual décrit plus haut) mais aussi du run de Batman (écrit à l’époque par Tom King). En effet, en replaçant Gotham Girl (Claire Clover) au centre du récit, Le prix propose donc une sorte de fiction « trois en un ». Autant dire que le lecteur complètement néophyte sera perdu.

La fiction emporte le lecteur sur une investigation menée tambour battant par le duo de détectives héroïques (à l’instar de ce qu’on avait vu dans DC Univers Rebirth – Le Badge, brièvement évoqué ici). Mais les errements mentaux et physiques de Gotham Girl ont un impact plus intéressant sur le relationnel entre Bruce et Barry. Les deux ont un immense respect envers l’autre mais aussi une méfiance mutuelle.

C’est ce parti pris qui offre un peu de substance au récit somme toute « classique » dans son dénouement (même s’il reste quelques zones d’ombre) mais qui – on l’a déjà dit et répété – ne trouve un intérêt réellement prononcé qu’en tant qu’épilogue à Heroes in Crisis (et comme titre annexe à Batman Rebirth presque).

Difficile donc de conseiller Le prix comme lecture indépendante. Il est curieux de l’avoir inclus dans la série sur Flash tant elle fait écho également à Batman. Le plus simple aurait été/serait de carrément proposer une version française de Heroes in Crisis – The Price and other stories (façon Doom War – Épilogue), afin d’avoir tout ce qui est connecté à cette œuvre-mère au même endroit ! D’ailleurs, même les suites « officielles » sont un casse-tête sans nom pour s’y retrouver (cf. explications plus bas). Le grand oublié est également Green Arrow, dont les chapitres #45 et #48-50 complètent le « and other stories » en VO. En France, la série Green Arrow Rebirth s’est achevée en cinq volumes, à l’épisode #31, donc impossible d’avoir ces chapitres. Encore une fois : il s’agit avant tout d’une sélection pour les complétistes car dispensable.

En revanche, ceux qui ont aimé Heroes in Crisis devraient apprécier Le prix avec plusieurs options pour se le procurer. Soit l’achat en VO pour une collection « complète » (20,95 €), soit la version librairie du huitième tome de Flash Rebirth (21 €) ou l’achat en occasion du Batman Bimestriel Rebirth #5 (12,90 € à l’époque mais difficilement trouvable à ce tarif désormais…).

Les quatre couvertures originelles (sans la titraille et les crédits),
dessinées par Chris Burnham et colorisées par Nathan Fairbain.

Comme évoqué dans la critique d’Heroes in Crisis, la « culpabilité » de Wally West trouve un second écho plusieurs titres de DC Comics. Tout d’abord dans la série en six chapitres Flash Forward (étonnamment inédite en France). Enfermé à Blackgate, Wally est délivré par Tempus Fuginaut qui lui redonne ses pouvoirs et lui confie une mission : parcourir les Terres parallèles pour surveiller qu’il n’y ait pas de problèmes (en gros) – mais il découvre petit à petit le Multivers Noir (apparu dans la saga Batman Metal) ! À découvrir uniquement en VO donc, faute de mieux, mais à prix correct (17 € environ) et de préférence en édition brochée car contenant quatre pages supplémentaires connectant à une autre série (on y vient).

Ensuite, dans le dernier tome de Flash Rebirth, Ligne d’arrivée, l’on apprend (dans The Flash #761) que la dépression qui s’était emparée de Wally au Sanctuaire avait été provoquée par Eobard Thawne, alias Zoom/Nega-Flash ! Ce célèbre ennemi « insufflait » à différents bolides écarlates des comportements à avoir ou actions à produire durant ces dernières années. Une pirouette scénaristique un peu facile mais qui réhabilite l’honneur de Wally… Le troisième Flash participe ensuite à la lutte contre le Multivers Noir (notamment dans la série Batman Death Metal – dont Flash Forward peut être considéré comme son prologue, cf. les pages bonus qui la connectait carrément), avec un costume bleu et des pouvoirs liés au… Dr. Manhattan (cf. Watchmen et Doomsday Clock) !

 

Enfin, le premier volume de la série Flash Infinite, En un clin d’œil (dont l’introduction d’Urban Comics a fortement aidé à la rédaction du paragraphe précédent), replace place Wally au cœur de l’intrigue. Dans le chapitre de conclusion du tome (The Flash annual #1 – 2021), on revit les évènements du Sanctuaire du côté de Wally et… l’explosion meurtrière est causée par Savitar, un autre ennemi des bolides écarlates ! Le tout accompagné d’une action volontaire de sacrifice de Roy Harper (Arsenal). Un sacré bazar donc… Surtout qu’il n’est pas établi que sans Savitar il n’y aurait pas eu de massacre. À la rigueur on peut imputer « rétroactivement » la tuerie de Wally à Thawne, mais moins à Savitar (et encore moins aux deux qui ne s’étaient pas concertés). Une façon de faire qui remet complètement en question les actes de Heroes in Crisis, quitte à abîmer l’œuvre intrinsèquement ou, au contraire, à gommer à posteriori ses défauts ? On laissera les lecteurs juges…

En synthèse, en ordre de lecture pour les plus complétistes, il y aurait donc : Heroes in Crisis, Flash Rebirth – Tome 08 : Le prix (ou Heroes in Crisis : The Price and other stories – uniquement en anglais) et Tome – 11 : Ligne d’arrivée, Flash Forward (uniquement en anglais), la série Batman Death Metal (en quatre volets) et enfin Flash Infinite – Tome 01 : En un clin d’œil (et ses suites, toujours en cours de publication). C’est-à-dire les couvertures ci-après (liens pour acheter en bas de cet article).

   

[À propos]
Publié chez Urban Comics le 6 mars 2020 dans Batman Bimestriel #5 puis le 5 juin 2020 dans Flash Rebirth – Tome 08 : Le Prix.
Contient : The Price (Batman #64-65 + The Flash #64-65)

Scénario : Joshua Williamson
Dessin : Guillem March, Rafa Sandoval
Encrage : Guillem March, Jordi Tarragona
Couleur : Tomeu Morey

Traduction : Jérôme Wicky (Batman), Alex Nikolavitch (The Flash)
Lettrage : Sarah Grassart et Stephan Boschat (Studio Makma)

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Batman Bimestriel #5 (12,90 €)
Flash Rebirth – Tome 08 : Le prix (21 €)
Heroes in CrisisThe Price and other stories (uniquement en anglais – 20,95 €)
Heroes in Crisis (24 €)
Flash Rebirth – Tome 11 : Ligne d’arrivée (19 €)
Flash Forward (uniquement en anglais – 17,19 €)
Flash Infinite – Tome 01 : En un clin d’œil (17€)



 

Batman Rebirth – Tome 10 : Cauchemars

Le (très long) récit écrit par Tom King se poursuit dans le dixième tome de Batman Rebirth, intitulé Cauchemars. La série avait retrouvé de sa superbe récemment (voir tomes 8 et 9). Est-ce toujours le cas ? Critique.

[Histoire]
Bruce Wayne revit la mort de ses parents, comme s’il était enfant. Mais étrangement Batman est bien présent pour enquêter sur le meurtrier… Normal : le jeune Bruce est en fait Matthew, qui calque sa folie sur le traumatisme du milliardaire (aperçu à la fin du tome 5). L’on confond donc l’imagination de l’un et la réalité de l’autre.

Par ailleurs, Batman se réveille (suite à la fin du volume précédent) kidnappé par le professeur Pyg. Il ne se souvient de rien et doit se sortir d’une situation complexe… John Constantine lui indique aussi que Catwoman va mourir d’ici peu. Le justicier se perd entre cauchemars et illusions…

[Critique]
Pour une fois, l’intégralité du tome ne repose pas sur une succession de plusieurs histoires mais sur un ensemble de sept chapitres qui se suivent. Malgré tout, chacun a son dessinateur propre (voir plus loin), son ambiance et identité graphique défini et semble déconnecté du reste. Certains de ces épisodes sont classiques dans leur structure, d’autres très singuliers : l’un est quasiment muet, un autre presque en monologue de Batman, un à l’inverse en dialogue entre deux protagonistes, un composé de danses et d’un découpage épousant la musique, et ainsi de suite. Pourtant ces chapitres sont comme des pièces de puzzle qui font sens en fin d’ouvrage.

L’ensemble est de prime abord confus. Il faut attendre l’arrivée de Constantine (peu avant la moitié du livre) pour comprendre un peu ce qu’il se passe (même si c’était prévisible vu le titre du comic et le résumé derrière) : Batman serait connecté à une machine et piégé dans des tourments cauchemardesques causés par l’Épouvantail. Le quatrième chapitre met le personnage La Question au premier plan, qui explique à Catwoman qu’il est la solution pour s’évader et que le Chevalier Noir doit le découvrir. Au fil de l’eau, l’évocation du mariage réussi entre Selina et Bruce met évidemment la puce à l’oreille sur cette fausse réalité. Bane semble encore responsable de cette situation.

Étrangement connecté et déconnecté de sa propre série, ce dixième tome pourrait presque se lire comme un one-shot. Presque. Difficile d’être séduit si on ne comprend pas les allusions à certains détails (Thomas Wayne dans Le Badge par exemple ou encore Matthew, cf. explications ci-après) et surtout aux deux grands fils rouges narratifs qui se croisent depuis le début. On parle bien sûr de la relation entre Bruce/Batman et Selina/Catwoman ainsi que du plan de Bane visant à briser une seconde fois (après sa première réussite dans Knightfall) le Chevalier Noir.

La bande dessinée mêle plus ou moins habilement ces deux pans de composition pour un résultat à la fois intéressant mais aussi frustrant. Intéressant car l’ensemble est plutôt original et illustré de façon presque innovante (chaque chapitre a vraiment un style différent et souvent agréable). Frustrant car assez prévisible (ça s’appelle Cauchemars après tout…) et malgré de jolis moment d’écriture (des échanges entre Batman et Catwoman notamment), il résulte une fois de plus un sentiment de surplace narratif (l’histoire principale n’a quasiment pas avancé et on navigue presque intégralement dans la psyché de Bruce/Batman tout le long du titre).

Comme évoqué plus haut, le récit sur Matthew (premier chapitre) avait été entamée 5 tomes plus tôt. Difficile de s’en souvenir si on lit la série au fil de sa parution (aussi bien en France qu’aux États-Unis)… À l’époque, ce micro-évènement inspirait avant tout un passage anecdotique sans conséquence. Force est de constater qu’il y a bien une « suite » à ce sujet (était-elle prévue de longue date ?), qui devra trouver une conclusion dans les deux prochaines tomes, qui seront les deux derniers. Il aurait fallu montrer Matthew de manière plus prononcé ou bien simplement évoquer ce jeune criminel plusieurs fois (après tout, c’est bien ce qui a été fait pour la fameuse guerre des rires et des énigmes avant ; et même après) pour mieux l’incorporer et s’en rappeler ici. Autre point détonnant : l’enterrement de vie de jeune fille de Selina, en compagnie de Lois dans la Forteresse de la Solitude de Superman. L’aspect (volontairement ?) cartoony et vivement coloré tranche radicalement avec le reste…

Une myriade de dessinateurs se suit (parfois à l’encrage et la couleur également) avec respectivement pour chaque épisode : Travis Moore, Mitch Gerads, le fidèle Mikel Janin, Jorge Fornes, Lee Weeks et même un quatuor pour le pénultième chapitre avec Amanda Conner, John Timms, Dan Panosian et à nouveau Janin. Yanick Paquette ferme le bal pour la septième et dernière salve. Impossible donc d’avoir un ensemble graphique homogène mais vu le contexte (en gros un chapitre couvre un cauchemar différent) ce n’est pas dérangeant même si, forcément, du bon et moins bon se côtoie. On retient surtout Mitch Gerads et son style psychédélique de toute beauté durant l’affrontement entre Batman et Pyg ainsi que la noirceur sobre et épurée des traits de Lee Weeks, spécialiste de merveilleux jeux d’ombre (déjà à l’œuvre pour le second segment d’À la vie, à la mort — il replace d’ailleurs ici son fameux bar avec les Looney Tunes dans son style réaliste atypique).

L’ouvrage navigue donc « entre deux eaux », ni déplaisant ni réellement passionnant. On a connu King plus inspiré mais aussi nettement moins. Un classement des tomes sera effectué une fois le dernier publié (d’ici mai 2020 au plus tard) ainsi qu’un article récapitulatif et une analyse de l’ensemble de la série Batman Rebirth.

« Être Superman, j’aime ça.
Mais je déteste que la vie m’y oblige.
Toi, Bruce… tu détestes être Batman.
Mais tu aimes que la vie t’y oblige. »
[Clark Kent à Bruce Wayne]

Les chapitres #64 et #65 sont volontairement absents du tome car connectés aux mêmes numéros de chapitres de la série Flash (Rebirth, évidemment). Ils forment The Price of Vengeance en v.o. et remettent en avant Gotham Girl. Ces quatre épisodes se déroulent avant Cauchemars et se passent en marge de Heroes in Crisis. On peut les découvrir dans Batman Bimestriel #5, en vente depuis le 6 mars et ils sont aussi inclus dans le huitième tome de la série Flash Rebirth, intitulé Le Prix, qui sortira le 24 avril prochain. Résumé et brève critique.

 

Une explosion se produit à Central City au musée Flash. Batman est sur place avant Barry Allen car il suspecte Gotham Girl — une jeune femme qui avait acheté des pouvoirs dans Batman Rebirth 1 — d’en être la cause. Le Chevalier Noir et le Bolide Écarlate s’associent pour enquêter (comme ce fut déjà le cas dans Le Badge). Gotham Girl veut ressusciter son frère Hank et bénéficie d’une substance qui pourrait y arriver : le venin.

S’il n’est pas nécessaire d’avoir lu les précédentes aventures de Flash ou Le Badge (même si celui-ci est mentionné), il apparaît indispensable de connaître Batman Rebirth/Gotham Girl mais aussi Heroes in Crisis pour mieux apprécier Le Prix (qui est presque un épilogue à Heroes in Crisis). La série aurait pu s’intercaler comme un tome annexe à Rebirth pour expliquer le retour de Gotham Girl. C’est plus bavard, coloré et dynamique que certains épisodes récents du Chevalier Noir ! Bref limite plus intéressant.

Écrit par Joshua Williamson et dessiné par Guillem March pour Batman #64 et #65 (il avait déjà signé des chapitres de la série Catwoman époque New 52/Renaissance) ainsi que Rafa Sandoval pour Flash #64 et #65, Le Prix s’avère un bon complément de Batman Rebirth !

[À propos]
Publié en France chez Urban Comics le 8 novembre 2019.

Contient : Batman Rebirth #61-63 et #66-69

Scénario : Tom King
Dessins, encrage et couleur : collectif (voir article)

Traduction : Jérôme Wicky
Lettrage : Stephan Boschat, Sabine Maddin (Studio MAKMA)

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